Journée de merde

Publié le par Pierre-Sauveur.B

Ce mercredi 29 janvier 2020, une journée de merde garantie, suivie demain d'une deuxième journée de merde, en principe moins longue mais de merde quand même.

 

La raison : le changement de mon bloc WC, remplacé par un WC suspendu.

 

Un projet peut-être pas très réfléchi. Mais, bon, ce qui est fait est fait, je ne peux pas revenir en arrière (expression qui laisserait supposer qu'il est possible de revenir en avant).

La seule bonne idée : l'ajout d'un lave-main dans les toilettes, ce sera plus confortable.

Je me demande si j'ai fait le bon choix d'artisan : M...... est cher, très cher. Je réalise qu'il me fait une installation qui sera, je l'espère, de qualité mais qui ne prévoit pas la finition en revêtement peinture ou autre. Au vu de ma facture, je pensais que dans le prix, c'était inclus.

 
Les ouvriers sont en train de travailler,
ils ont mis la radio et je suis obligé de subir les nuisances pubs + musique...

 et ce n'est pas "Radio Classique" !

Je me dis que, peut-être, j'ai un travail à faire sur moi, d'acceptation, de tolérance, d'indulgence : pas facile, intéressant mais pas facile.

 
 
En fait, j'ai choisi M...... pour trois raisons : la réputation de sérieux et la proximité (à 200 mètres de chez moi) qui faciliteront les interventions en d'urgence de plombier et également l'intention de lui donner l'entretien de la chaudière.
 

J'ai été interrompu par les ouvriers, pour des mises au point d'emplacements de robinetterie, tuyauterie et autres. J'espère avoir pensé à tout dire sur mes attentes.  

 

Me replonger dans le stress de travaux m'est pénible.

A l'avenir, je devrai bien réfléchir avant de faire quoi que ce soit. Je vois à quel point je me sens vulnérable et fragilisé dès que des "étrangers" envahissent mon espace et modifient les repères mis en place depuis trois ans, parfois avec difficulté.

Il me faudra, peut-être, en parler à mon psy

.
 
Ce texte sans queue ni tête finira peut-être à la corbeille, je l'ai suffisamment développé maintenant pour pouvoir arrêter. Je vais donc m'occuper autrement pour continuer ma journée.

oui, vraiment : sans queue ni tête !

Il ne me reste plus qu'à aller au cinéma, dès le départ des ouvriers, j'irai peut-être voir...

Finalement, le texte ne finit pas à la corbeille, il a même droit à un article dans mon blog... C'est fou, la vie, non ?

Publié dans La tête à l'envers

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